mardi 29 avril 2008

Billet fourre-tout

En ce moment sur le web, y'a comme un petit air de revival...
la nostalgie n'est peut-être plus ce qu'elle était, mais elle fait bien tourner la planète web.

Tout d'abord chez Mimie In Vivo, j'ai vu cette vidéo spécial années 80.




Y'a aussi ça :



WORST ACADEMY


Recommandé par des Influenceurs


Le principe :
former une chaîne qui de blog en blog nous fera redécouvrir les perles oubliées de l'industrie musicale.

le dernier participant en date c'était MissBownie avec une superbe chanson d' Elmer Foot Beat.

Le principe est hyper chiadé et un poil complexe pour la buse en informatique que je suis.
Mais surtout, j'ai pas en tête de chanson bien pourave qui aurait fait l'objet d'un disque.

Par contre j'ai cette vidéo de Didier Bénureau " Chanson du soldat Morales", à classer dans le camp des chansons hautement improbables, mais pas encore perle oubliée.



Si quelqu'un reprends le flambeau, qu'il poste l'adresse de son article dans les commentaires, pour que je puisse faire le lien.

Et pour bien comprendre les règles du jeu (j'ai peur de ne pas avoir été super claire), allez faire un tour chez MaO, vous comprendrez tout

Dernière minute : Ca y est, la worst renait de ses cendres, c'est ckankonvaou qui reprends le flambeau et c'est


" Moralès, Moralès,
Toi qui voulais voyager
Te voilà z'éparpillé "

" Moralès, Moralès,
Toi qui voulais battre des records
A vingt ans déjà t'es mort "

Ça c'est du texte :)

dimanche 27 avril 2008

Tron à la française

Tout petit post, le week-end, je n'ai jamais vraiment le temps...c'est dingue moins on en fout, moins on a le temps :)

J'ai pas mal dessiné, je m'essaye au fusain, je vous montrerais ça prochainement (ça devrait changer des bretonnes).

En attendant une petite vidéo rigolote.
Vous connaissez sûrement Tron, ce film bizarroïde de Disney, premier film à utiliser des effets spéciaux faits par ordinateur. Avec ces couleurs fluos c'est de nouveau super à la mode.
C'est marrant les trailers de Speed Racer des frères Wachowski, ça m'a un peu fait penser à Tron avec un petit coté WipEout.

En attendant, cette vidéo, c'est Tron, sans les moyens des studios Disney.

vendredi 25 avril 2008

Crossroads Guitar Festival 2004


Vous aimez la guitare (électrique, sèche), le bon son, le blues qui vous fout des frissons, le rock, la country, le folk... ?
Vos oreilles se dressent à la simple évocation des noms d'Eric Clapton, Buddy Guy, B.B. King, J.J. Cale, Carlos Santana, ZZ Top, etc, etc
Alors ce DVD est pour vous.

Pour vous mettre l'eau à la bouche, quelques extraits, le plus dur ça a été choisir :

La première pour BB King, trop géant "Rock me baby" :



la deuxième pour ce blues démentiel que Robert Cray a dans la voix (et les doigts) "Times Makes Two":



La dernière pour le génie inégalé du maître de cérémonie Eric Clapton "Cocaîne", j'aurais préféré "Have you ever love a woman" sur le même dvd, mais je n'ai pas trouvé :



Pour les amateurs, un Crossroard Guitar Festival 2007 avec entre autres Jeff Beck, est sorti début d'année.

mercredi 23 avril 2008

C'est l'été, on sort les maillots.

Ca y est, il a fait beau, il a fait chaud, même en tee-shirt (en manches longues il est vrai).
L'été arrivant, je me pose l'éternelle question : quel maillot pour nos plages ensoleillées (bien couvrant, mais pas trop, deux pièces ? naan une pièce, c'est mieux).
Finalement, à l'époque de cette photo je ne posait pas trop de questions...



Admirez le superbe body en bouclettes manches longues, les chaussettes et la charlotte, à l'époque on savait se protéger du soleil.;)

mardi 22 avril 2008

" la fosse septique ", la discothèque qu'il vous faut.


Aujourd'hui j'ai lu un article chez Oka sur les boites de nuit qui puent des pieds.
Alors, c'est pas que ça bouleverse mon équilibre intérieur, vu que ça fait à peu près une décennie que je n'ai pas mis mes pieds à moi (qui ne puent pas, jamais) dans ce genre d'endroit.

Non assez logiquement j'ai revécu mes expériences de discothèque les plus nulles, les plus dingues, les plus dépravées, les plus ringardes, les plus déplorables (au choix) de ma vie.

Bon je ne vous raconterais pas tout, l'à-peu-près bonne opinion que vous avez de moi risquerais de dégringoler très vite.
Juste que les rochers (surtout ceux en granit rose) c'est pas confortable du tout, que l'on peut très longuement faire le tour d'une boite de nuit en suivant bien consciencieusement les murs sans jamais trouver la sortie,
qu'au sortir de la dite boite il est possible de garnir copieusement les chaussures du gentil gendarme qui vous demande vos papiers.

Pour en revenir au titre, il existe en Bretagne ( et ailleurs aussi j'en suis sure) des discothèques qui valent le détour plus pour la faune qu'on y trouve que pour la musique.
Une près de chez moi avait même une telle réputation auprès de ces habitués qu'ils l'avait surnommée la "fosse septique" rapport au fait qu'on venait souvent y chercher la merde (délicat je sais).

Quand à l'illustration, vous avez là, le moyen de locomotion le plus original que je n'ai jamais eu pris pour allez en boite (bon en fait c'était le bal du coin et j'étais pas encore majeure, y'a prescription).
N'empêche, on peut en mettre du monde dans une charrette.

Et vous c'était quoi le moyen de locomotion le plus original que vous ayez pris pour aller faire bouger votre corps ?

lundi 21 avril 2008

Un autre femme...si, si j'vous jure.

Aujourd'hui juste deux petits posts de fainéante, parce que c'est les vacances (des chipies bien sur), et que je n'arrive pas à trouver le temps.

D'ailleurs à ce propos je ne sais pas comment elles font toutes ces blogueuses, mère de famille, femmes accomplies, arrivant à fournir tous les jours des articles longs comme le bras (et intéressants en plus, ou rigolos tout du moins). En plus elles trouvent le moyen d'aller voir les autres blogs, d'en découvrir de nouveaux, de discuter le bout de gras sur des forums.

Moi 'peux pas, j'arrive pas. Alors si y'a un truc, faut me dire hein ! soyez sympa les filles (les mecs aussi), comment faites-vous ? Vous dormez de temps en temps ?
Ou alors j'ai fait le portrait-robot d'un blogueuse virtuelle qui n'existe que dans mes fantasmes. C'est ça, ça doit être ça, ça ne peut être que ça !!

Bon revenons à nos moutons, à savoir cette magnifique paire...



de lunettes, vous l'aurez compris.

Et oui, j'entre dans la grande famille des lunetteux (si, si ça existe), des binoclards (beurk, je l'aime pas celui là), en un mot des femmes à lunettes.
Une hypermétropie latente (non, non, rien de sexuel là-dedans), qui me pourrissait la vie, et me faisait mal aux yeux quand, au choix : je dessinais, j'étais devant un écran, je lisais. Et vu que j'aime bien cumuler, bingo.

ALORS, NON, JE NE SUIS PAS VIEILLE, c'est juste une correction (vous avez saisi la nuance non ?)
Bon en même temps y'a bien pire, et je m'aime bien en lunettes.

Doisneau encore et toujours.

Bien sur, il n'est plus utile de présenter Robert Doisneau et son oeuvre tant ces photographies on fait le tour du monde.

Dans le bouquin ou j'ai pris ces clichés, l'auteur explique " Doisneau possède au plus haut point le sens des situations cocasses, insolites et des décalages subtils..."

C'est tout à fait ce que l'on ressent avec ces photos :

J'adore le papy avec son clope au bord des lèvres et le sourire en coin.
Le couple aussi bien sur, qui a dit que l'amour c'était regarder ensemble dans la même direction ?



Le regard oblique (boutique de Romi)
Rue de Seine, Paris 6è, 1948



(Robert Doisneau, Jean-Claude Gautrand, Editions Taschen).

vendredi 18 avril 2008

"Chroniques de la haine ordinaire"


Ce vendredi différentes choses se sont télescopées dans mes petites cellules grises.

Journée spéciale sur France-Inter aujourd'hui, pour les vingt ans de la mort de Desproges, l'homme qui pensait qu'on pouvait "rire de tout mais pas avec tout le monde".
J'aime Desproges, l'homme qui nous exhortait à rire de tout avant la mort. Son humour noir s'est attaqué à tous les sujets, même (surtout) les plus épineux : Dieu, la mort, le nazisme, la politique, la religion, le sexe, le racisme.... Il était cordialement détesté tant de la droite que de la gauche, des féministes comme des culs-bénis.
La mort lui a donné ce vernis de respectabilité qui l'aurait fait vomir de son vivant. Mais qu'importe les récupérations, ces écrits sont toujours présents.
J'en veut pour preuve ses bouquins, qui se vendent toujours aussi bien.


Autre sujet qui m'a interpellé, cet article lu chez Lolo et Fred, sur les propos racistes tenus par un leader syndical.
C'est tellement con, tellement bête ce genre de propos, c'est à désespérer de nos édiles quels qu'ils soient.

Alors comme disait Desproges :
"Que la vie serait belle si tout le monde doutait de tout, si personne n’était sûr de rien. On pourrait supprimer du dictionnaire les trois quarts des mots en « iste », fasciste et communiste, monarchiste et gauchiste, khomeyniste et papiste."

Et juste pour vous mettre en forme, quelles citations :

"Les aspirations des pauvres ne sont pas très éloignées des réalités des riches."

"Dépourvue d'âme, la femme est dans l'incapacité de s'élever vers Dieu. En revanche, elle est en général pourvue d'un escabeau qui lui permet de s'élever vers le plafond pour faire les carreaux. C'est tout ce qu'on lui demande."

"Je ne suis pas pour la femme-objet, au contraire j'aime bien quand c'est moi qui ne bouge pas."

"L'amour... il y a ceux qui en parlent et il y a ceux qui le font. A partir de quoi il m'apparaît urgent de me taire."

"Il ne faut pas désespérer des imbéciles. Avec un peu d'entraînement, on peut arriver à en faire des militaires."

"L'intelligence, c'est comme les parachutes, quand on n'en a pas, on s'écrase."

et pour finir:

"Pourquoi, Dieu me tripote, faut-il toujours-z-et-encore que, siècle après siècle, civilisation après civilisation, se répète inlassablement le terrible adage qui nous enseigne que le plus court chemin de la barbarie à la décadence passe toujours par la civilisation ? "


etc, etc, etc, etc...

jeudi 17 avril 2008

Mes "navets" à moi que j'aime

En matière de cinéma, l'appellation navet est toute relative, tu aimes tel film, j'aime pas, je me gondole, pas toi, etc.

Digression.
Tenez par exemple "Bienvenue chez les ch'tis" (je sens que je vais me faire tuer, ébouillanter, éviscérer, au choix).
Ce film m'a fait sourire, rigoler à certains moments, mais ça s'arrête là, c'est un bon petit film, point, pas de quoi casser une patte à un canard. Il y a bien d'autres films qui m'ont fait mal aux abdos, et fait faire pipi dans ma culotte (je repense au premier visionnage de "Mary à tout prix" par exemple).

Bon bref, c'est pas là que je voulait en venir.

Il y a dans ma vidéothèque personnelle, des films que j'ai vus et revus (surtout quand j'étais ado), et le premier d'entre eux, c'était celui-la :


"L' aventure du Poséïdon".

Le prototype du film catastrophe, franchement je trouve qu'on a pas fait mieux depuis.
Tout y est : un suspense mortel qui tient jusqu'à la fin, des personnages aux caractères bien trempés devenus de véritables archétypes (le curé énergique et héroïque, l'alcoolique mondain repentie, le gentil petit couple...), de l'émotion mais pas de pathos.
C'est vrai que les effets spéciaux ont un peu vieillis, mais ça ne gâche pas vraiment le plaisir, ils ne sont qu'un outil au service du scénario. Contrairement à certains films d'aujourd'hui qui ne sont qu'un prétexte à accumuler les prouesses techniques.


Et hop un petit extrait pour ceux qui aurait oublié.




Et vous, un petit film culte de derrière les fagots ?

mercredi 16 avril 2008

Un bowling + une timide

Je suis timide, si, si, vrai de vrai.

Je m'étale (un peu) sur internet, je contacte des gens que je ne connais pas, je m'invite "chez eux", je leur "impose" mes commentaires, et pourtant je me suis toujours considérée comme timide.

J'en ai les symptômes visibles : rougeurs diffuses arrivant tout à fait inopinément et de façon totalement traître, une impossibilité quasi pathologique de téléphoner à une personne inconnue etc etc. Et surtout une capacité sans limites à vivre et revivre les situations les plus embarrassantes m'étant arrivées.

En effet, le timide cogite beaucoup, énormément.
Il pense à tout, il revit tout.
Et à la pensée de ces situations, le timide rougit, seul.
Il est là, il passe le balai ou autres activité lénifiante, son esprit vagabonde librement...et paf le souvenir mortel s'impose à son esprit.
Pourquoi ?, comment ? aucune idée, mais le fait est là. Le timide est comme condamné à vivre et à revivre les bourdes (réelles ou imaginaires) commises autrefois. Et il ne se trouve aucune excuses, le temps n'atténue rien et tout est toujours aussi frais et à vif dans sa mémoire.

Alors non contente d'être timide, je suis aussi maladroite, et les deux ensemble ça vous fait faire des trucs assez invraisemblables.

Le timide n'est jamais très à l'aise en public, même s'il fait comme si de rien n'était. Il affiche un semblant d'air nonchalant, mais en fait, il ne sait pas vraiment quoi faire ni comment le faire.
Du coup il n'est jamais très en phase avec ces gestes, voir carrément à coté de la plaque, et si vous rajoutez à cela une bonne dose de maladresse alors là c'est le jackpot.

Je vous restitue la scène : un bowling (normal, tout à fait normal), des amis à priori bien sous tous rapports, mon homme et moi. Ah oui j'oubliais, moi enceinte de 8 mois et une semaine, juste un petit détail technique.
Alors je m'élance vers la piste (ben oui je suis venue pour jouer, pas pour regarder les autres). Et c'est là que se conjuguent timidité et maladresse. Le timide dans un lieu public n'est pas du tout à l'aise, persuadé qu'il est que toute la salle l'observe (alors qu'ils n'en ont rien à cirer). Il est donc un peu gauche, pas du tout habile et surtout très pressé de retourner à sa place.

Et là, faute !!! mon pied dérape sur la piste bien huilée, magnifique demi-tour et réception sur les fesses et l'avant-bras.
En face, ils sont tous hilares (les traites = mes amis et mon homme). Il leur faudra plusieurs longues secondes avant d'étouffer leurs rires et récupérer la baleine agonisante échouée sur une piste de bowling. Pathétique, mais peut-être drôle vu de l'extérieur.

Résultat des courses, rien du tout pour le bout de chou heureusement, un coude cassé pour moi, un accouchement le bras dans le plâtre, une opération un mois après, une rotule artificielle, un bras malgré tout bloqué et une nouvelle opération à prévoir.
Et tout ça à cause d'une boule de bowling (oui bon je sais elle n'y est pour rien, mais il me faut un responsable).

En conclusion, si vous êtes timide et maladroite : évitez les bowling (le pire c'est que j'aime bien ça mais sans plus)

lundi 14 avril 2008

lire, lire, lire

J'ai récemment fini ce livre, et je voulais vous faire partager le plaisir que j'ai eu à le lire.

L'écriture est magique par sa simplicité. Peu de mots suffisent à l'auteur pour évoquer en nous mille-et-unes images. Une grande partie du charme de ce livre tient dans ses personnages, des caractères dessinés comme à l'aquarelle.

" L'enfant contre lui ne bouge pas. Elle est tranquille, toujours. Tranquille comme comme le matin lorsqu'il se lève et peu à peu dissipe la nuit qui avait enfermé le village, les rizières et la forêt dans son manteau de ténèbres."


J'aime lire, passionnément, intensément, depuis toujours.
Petite je me cachais dans tous les coins et recoins de la ferme de ma grand-mère. Tout était bon pour l'assoiffée de lecture que j'étais : les livres, les bd, les revues (ah "Nous Deux" et ses romans photos...).

Plus grande je n'ai pas vraiment changé, où que j'aille il me faut un livre à portée de main, ça me rassure. Si j'entre dans une librairie, je furète, je hume, je touche les livres, je lis les titres, les résumés (ben oui quand même), et je ne peux pas, je ne peux pas, sortir sans en avoir acheté un.

Les livres qui m'ont le plus marquée n'était (ne sont) pas forcement des ouvrages dits "classiques". J'ai toujours eu un peu peur de la "littérature", ces livres primés, encensés ou descendus en flamme par la critique.
Quand j'en lis c'est sans le savoir, parce que j'apprécie l'auteur, ou parce qu'un je ne sais quoi m'a attirée. Ce n'est pas toujours facile de définir l'attachement que l'on éprouve pour tel ou tel livre. Une chose cependant que j'ai remarqué, c'est souvent plusieurs mois après sa lecture que je me rends compte que tel ou tel livre m'a vraiment laissé des souvenirs (tant il est vrai que certains s'oublient aussi vite qu'ils ont été lus).

Et vous quel genre de lecteur êtes-vous ? compulsif, dilettante, vous picorez de-ci de-là, vous dévorez sans compter ?

dimanche 13 avril 2008

J'aime la magie

Après-midi tv aujourd'hui (ouaiiiis, je sais ma vie est trop passionnante, c'est d'ailleurs pour ça que je vous en parle).

Je suis tombée sur deux émissions qui m'ont laissé des impressions totalement différentes :
"Les Incroyables secrets de la Magie enfin dévoilés" sur TMC et "Star portraits" sur france5.



Pour la première tout est dans le titre, et même si je suis du genre hyper curieuse, ce type d'émissions m'agace un peu.

Dans la magie, on sait qu'il y a un truc, forcement, on observe attentivement, on essaye de deviner, on échafaude des hypothèses. Et là, paf, on voit le grand magicien masqué nous dévoiler une partie de ses secrets.
Alors oui ça m'agace, ça m'énerve, ça gâche une partie de mon plaisir (et je déteste ça);).


Pour la deuxième, ce fut tout différent.

Le concept de l'émission est simple : une célébrité croquée par trois peintres qui réalisent les premières esquisses en sa présence et sous l'oeil des caméras. Ils ont ensuite quinze jours pour finir l'oeuvre dans leur atelier.

C'est fascinant, passionnant, de voir des artistes à l'oeuvre, comment ils observent le sujet, comment ils apprivoisent la toile.
L'oeuvre évolue sous nos yeux, des premiers coups de pinceaux à l'esquisse des traits du visage. Comme je n'ai jamais pris de cours, ça me rassure de voir que parfois ils utilisent les mêmes "petits trucs" que moi.


Bref je vous l'avais dit, un week-end passionnant. (mais j'ai fini mes plantations yes, yes)

ps : pour l'illustration, ça n'a rien à voir, c'est juste que j'adore Hopper.

Tag à la rescousse...

Merci à Missdouxdoux de m'avoir taguer, vu l'inspiration que j'ai en cette fin de semaine, ça me permet de meubler à peu de frais.
Dans le même temps, je m'occupe vraiment: je jardine, je dessine, je jardine je dessine, bon je m'occupe de mes gamines aussi, je ne suis pas totalement mère indigne (juste un chouilla).

Ceci dit le tag est marrant : se décrire au fil de quelques questions auxquelles on répond avec des photos.
Let's go :

Que seriez-vous si vous étiez un animal ?


Le rouge gorge, ma grand-mère imitait tous les oiseaux du jardin, j'adore les entendre chanter quand les beaux jours arrivent.

Quelle est votre couleur préférée ?


Le blanc, le noir, basiques, on peut tout faire avec ça.

Quelle est votre nourriture préférée ?


Inutile de décrire, les images parlent d'elles mêmes.

Quelle est votre boisson du matin ?


Thé...mais aussi café, voir chocolat...

Quel est votre objet préféré ?


Disons l'objet préféré du moment, mon crayon mâchouillé et mes stylos.

Quel endroit aimeriez-vous visiter ?


L'intérieur d'un tube, je ne surfe pas, je patauge. Alors me retrouver là un jour, c'est carrément de l'ordre du fantasme.
Autrement les sites précolombiens, le temple d'Anghor, Tokyo etc, etc, etc.

Je vois que je n'ai pas pu m'empêcher de parler, gros défaut je sais.

Bon je ne tague personne, j'en ai pas vraiment envie, mais si quelqu'un est inspiré, qu'il se serve.

mercredi 9 avril 2008

Addiction

Il est du chocolat comme de la religion : de très nombreuses croyances, de multiples façons de prier, mais au final un seul Dieu.

Dans le monde du chocolat on retrouve les ayatollahs du bon goût qui ne jurent que par le "noble" chocolat noir, les adorateurs de vaches violettes, les contemplatifs amateurs de tous les chocolats, les mystiques à la recherche de chocolats rares...

Moi je suis du genre touche à tout, a-priori j'aime tout, mais il en est un pour qui je craque complètement, pour qui je serais prête à faire des choses pas catholiques, et c'est lui:

Oui je sais, je vais faire hurler tous les amateurs de vrai chocolat, mais j'y peu rien, quand je tombe sur ce petit bonhomme, je perd toute mesure, je ne peut pas m'arrêter, tout le paquet y passe.
Si vous voulez me corrompre vous savez quoi faire :)

mardi 8 avril 2008

"Aldo la classe" ou "Mesdames un petit effort"...

Je vous parlais il y a quelques temps, d'un article de ELLE, ou le pédopsychiatre Aldo Naouri nous conseillais de "frustrer nos enfants" afin de les aider à gérer au mieux leurs émotions (grosso modo bien sur, c'est un raccourci).

Et bien, après s'être occupé de nos enfants, notre éminent docteur se charge de leurs mères...et je sens que ça va vous plaire:

Mesdames, un petit coup de mou dans votre libido ? plus envie de faire l'amour ? Forcez-vous, ça viendra !

Pour vous mettre en appétit quelques extraits de son livre "Éduquer ses enfants, l'urgence d'aujourd'hui" (Payot):

"Les rapports sexuels, après une naissance, reprendront dès que la femme aura retrouvé son intégrité physique. Et qu'elle pourra se prêter sans douleur, n'en eut-elle aucun désir, à la demande de son partenaire."

Ça vous plaît hein ? vous en voulez encore, allez une petite dernière :

Il insiste à plusieurs reprises sur le fait que non, "une femme ne doit pas attendre que le désir vienne ou revienne". Elle doit se forcer, et peut-être, qui sait, y trouvera-t-elle finalement un peu de plaisir !
Si elle ne se prête pas aux demandes de son conjoint, celui-ci "ira voir ailleurs" comme disaient nos grand-mères... et la femme l'aura bien cherché !

Si vous en voulez plus, allez voir cet article article au feminin.com

Mais Aldo, permet moi cette trivialité, j'abuse je sais.
Aldo donc, pourquoi s'arrêter en si bon chemin ? nous autres pauvres femmes, êtres frivoles et immatures, sommes en manque de judicieuses leçons.

Se forcer à faire l'amour soit, mais ou, quoi, comment ?
Allez Aldo, va jusqu'au bout de ta pensée.
Une petite gâterie dans la cuisine, une levrette dans la salle à manger, une brouette japonaise sur le sofa ?
Peut-être en costume afin de mieux émoustiller monsieur, avec ou sans accessoires ?

On s'en voudrait tellement de forcer monsieur à quémander ailleurs quelques miettes de tendresse.
Allez Aldo, nous sommes prêtes, abreuve nous de tes précieux conseils.

C'est gratuit...

...parce que chez moi, c'est super beau, et que je suis "bêtement" fière de ma région avec ses défauts et qualités, voici quelques photos.
(bon ok, la température ressentie, sur chacune de ses photos doit-être entre 10 et 12°, mais franchement pensez-vous que l'herbe serait aussi verte autrement ?)





lundi 7 avril 2008

Hubert Rublon

On continue notre petit panorama des artistes bretons ou inspirés par la Bretagne (entre autre bien sur).

Voici Hubert Rublon et quelques-unes de ces oeuvres.





Les couleurs sont comme je les aime chaudes, attirantes. L'artiste sait les associer avec beaucoup de talent.
Le dessin faussement naïf, est très poétique. J'apprecie aussi le "coup de crayon", ce coté graphique.






Pour en connaître un peu plus n'hésitez pas à visiter son site vous y trouverez d'autres peintures et illustrations, ainsi qu'une série très sympa sur les "Papys Pêcheurs".

PS : les illustrations de cet article sont issues de l'ouvrage "ateliers d'art en Armorique", éditions M-Line.

PSbis : autant mes propres dessin sont totalement libres d'accès (vous pouvez en faire ce que vous voulez : des papillottes, des cibles pour fléchettes...);
autant les oeuvres présentées dans les différents articles concernant des peintres professionnels sont bien évidemment la propriété exclusive des artistes en question.

vendredi 4 avril 2008

"faut bien commencer !"

Vous vous souvenez peut être, je vous avait déjà montré cette photo de bibi.



C'était du pur années 70, de quoi vous donnez des cauchemars à vie, et faire la fortune de votre psychanalyste.

Alors maintenant, voila le pourquoi du comment.
A l'époque moi aussi j'avais le costume de fan, la coiffure qui va bien, parce que je craquais pour eux :



Les Rubettes, mon premier 45T.
Bon j'irais pas jusqu'à dire que j'étais fan absolue comme peuvent l'être les gamines aujourd'hui, avec Tokio Hotel ou autres, mais bon le premier 45T, quand même ça marque (surtout que le deuxième ce fut la "bonne du curée" d'Annie Cordy...).
Alors bien évidemment je ne résiste pas à l'envie de vous faire partager mes premiers émois musicaux :

mercredi 2 avril 2008

C'est pas le 1 avril

Et oui, le 1 avril c'est le jour de blagues idiotes, que même si t'es le dernier des ringards, tu peut la sortir ta blague foireuse vu que ce jour là c'est permis.

Moi, vous vous en doutez, je n'ai pas de blagues foireuses en stock et puis de toutes façons on est le 2 avril, c'est bête hein .
Par contre j'ai tout un tas de questions existentielles, à la limite entre la question scientifique et la glissade dans la quatrième dimension.
Faudrait inventer un jour de la question qui tue, du questionnement qui tarabuste.


* Pourquoi on a froid, quand on travaille sur ordi. Je finis toujours avec les pieds et les mains gelées.

* Pourquoi les endives cuites c'est pas bon (alors que crues j'adore).

* Pourquoi les gamins n'oublient jamais les promesses inconsidérées qu'on a pu leur faire dans un moment de faiblesse.

* Pourquoi les aliments dit sains pour la santé sont rarement bons au goût.

* Pourquoi le voyant du réservoir d'essence ne s'allume qu'une fois qu'on a dépassé et de loin la station service.

* Pourquoi ma fille me dit "j'vais pisser", mon mais, ou elle a chopper ce vocabulaire de merde, put*** à 5 ans et demi si c'est pas lamentable.

* Et enfin et surtout, pourquoi mes cheveux ressemblent à ça après une petite promenade bien aérée.

mardi 1 avril 2008

Chick litt VS ????

La chick litt c'est la littérature de GONZESSES, de nana, de fiiilles, avec le iii qui traîne comme dans hystérie (bon ok, c'est un y mais ça sonne pareil).



Allez, si, faites un effort, vous en connaissez sûrement un ou deux titres, ou tout du moins les plus célèbres d'entre eux "le diable s'habille en Prada", ou encore "Bridget Jones".

La chick litt c'est un peu comme si une héroïne de Barbara Cartland se perdait dans un épisode de Sex and the City. Le but c'est toujours de trouver le Big Love, mais en mettant une capote, parce qu'il y a de grandes chances pour qu'on fasse ça avant le mariage.

J'ai même lu quelque part que l'on considérait Jane Austen comme la première des chick girls, pourquoi pas ?

Mais bon en fait mon problème (qui n'en est pas un) c'est que moi pour me détendre vraiment c'est plutôt ce genre de bouquin que je lit :
Ludlum, Grisham, Easterman, Crichton, Cussler...

C'est pas que la littérature de "mecs" soit mieux que celle des "filles", non pas du tout, mais en fait pour me détendre j'adore ces histoires d'espionnage, de complots terroristes, d'organisations secrètes, de civilisations disparues, de femmes mystérieuses au regard glacial, de héros aux muscles saillants et au cerveau proéminent.

C'est peut-être pas super féminin, mais ça m'éclate.
Et vous, si vous aimez bouquinez vous lisez quoi pour vous détendre ?